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Thérapeutique

Publié le 25 nov 2007Lecture 1 min

La fluoxétine déprime les plaques

Dr Charles Gouraud
Qui l’eu cru ? La fluoxétine, antidépresseur star des années 90, a montré une efficacité chez des animaux atteint d’une encéphalite allergique expérimentale, modèle de SEP.
Il a été ensuite démontré que la fluoxétine pouvait augmenter le niveau d’AMP cyclique dans l’astrocyte via un effet sur des récepteurs noradrénergique. Une étude préliminaire avec une méthodologie rigoureuse en double aveugle effectuée chez 40 patients pendant  24 semaines vient de démontrer l’effet significatif de la fluoxétine sur l’activité IRM de la maladie. Une deuxième carrière pour la fluoxétine ? Affaire à suivre.

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