Publié le 14 juin 2010Lecture 1 min
Parkinson : de l’intérêt d’un traitement précoce par rasagiline
Dr Emmanuel Cuzin
L’étude ADAGIO, en double aveugle, versus placebo, a comparé l’utilisation de la rasagiline 1 ou 2 mg/j prescrite d’emblée dès le diagnostic de maladie de Parkinson, à son utilisation différée 9 mois plus tard chez des parkinsonien nouvellement diagnostiqués et non traités (n = 1 176).
Le score UPDRS (Unified Parkinson's Disease Rating Scale) progresse significativement moins quand la molécule est utilisée d’emblée durant les 18 mois de l’étude. Selon les auteurs, « ces résultats sont compatibles avec l’hypothèse que la dose d’1 mg/j de rasagiline modifie favorablement le cours évolutif de la maladie de Parkinson en dehors d’un simple effet symptomatique ». Un tel résultat n'a pas été retrouvé avec la dose de 2mg/j.
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